Les chambres de commerce, d’industrie et d’agriculture sont le socle de l’émergence du Sénégal

Il fait partie de ces Sénégalais qui ne participent quasiment pas à la vie politique de son pays. Toutefois, ceci n’est pas une preuve qu’il ne s’intéresse pas à ce qui s’y passe. Dans sa conception de la démocratie, les critiques doivent être constructives. Cependant, elles ne le sont que si elles sont déterminées par le souci de défense de l’intérêt général. Raison pour laquelle toutes ses interventions sont axées autour du progrès économique et social de cette nation qui l’a vu grandir. A la différence de ceux qui ont fait de la politique un métier, Serigne Mboup agit, au jour le jour, pour assainir l’économie, améliorer les conditions de vie de ses compatriotes et surtout stimuler la croissance économique.
Etant donné que tous les acteurs économiques ne sont jamais égaux devant le marché l’Etat a mis en place des mécanismes pour protéger les plus faibles et leur permettre d’être plus compétitifs. Avec la mondialisation, il urge de renforcer les chambres de commerce, d’industrie et d’agriculture qui jouent un rôle majeur dans la protection des PME-PMI surtout ceux du secteur privé. En effet, avec la libéralisation des échanges commerciaux les agriculteurs africains risquent de perdre leur part de marchés au niveau local à cause de l’importation massive des produits Européens qui sont subventionnés.
Si rien n’est fait l’agriculture qui est le principal moyen de subsistance de la majorité de la population risque de connaitre un grand bond en arrière car la majorité des consommateurs sont eux même des agriculteurs. Par conséquent si leurs revenus baissent peu importe les prix qui seront fixés sur le marché ils ne pourront pas s’en acquitter. Et pour parler d’industrie, il faut d’abord avoir une agriculture productive. C’est à partir de la transformation de ces produits agricoles que l’on pourra parler d’industrie. Si l’industrie ne marche pas, le commerce ne pourra point avoir lieu. Actuellement, ce qu’on appelle commerce au Sénégal relève en fait plus de l’oeuvre de désoeuvrés qui essaient de survivre au quotidien en adoptant la stratégie de la vente à la sauvette.
En clair, le commerce dépend de l’industrie qui elle dépend de l’agriculture qui elle nécessite des intrants de qualité et des machines de production moderne. C’est une chaine qui est interdépendante. Fort heureusement que le Sénégal dispose de ressources humaines de qualité de la trempe de Serigne Mboup dont le principal objectif consiste à réduire la dépendance vis-à-vis de l’extérieur en substituant les importations par la production locale pour faire de l’ autosuffisance alimentaire une réalité tout en rehaussant le revenu par habitant.
En voyant les actes posés par le Président de l’union nationale des chambres de commerce, d’industrie et d’agriculture du Sénégal, Serigne Mboup, il apparait clairement que les diplômes ne sont plus les seuls critères pour qualifier une personne d’intellectuel. Le patron de CCBM, au vu de ses actes, ne cesse de nous démontrer qu’être intellectuel c’est avant tout être humble, honnête, correct, engagé pour l’intérêt général mais aussi faire la
promotion de la vérité d’où qu’elle puisse se trouver. Les bardés de diplômes sont souvent
des beaux parleurs qui n’agissent jamais et qui n’ont aucune utilité pour la société. En
somme, être intellectuel c’est être au chevet de sa population et Serigne Mboup en est un
pour ne pas dire qu’il est l’un des plus grands intellectuels que compte présentement le
Sénégal. L’Etat Sénégalais se doit donc de le soutenir afin de lui permettre de mieux
répondre aux défis de transformation socioéconomique de notre pays s’il veut réellement
faire un cap sur l’émergence.

La rédaction de Senegalinfo.net

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