Cheikh Mbacké GADIAGA met la Justice devant ses responsabilités

Comme il le fait très souvent à chaque fois que l’actualité du pays fait sensation, Cheikh Mbacké GADIAGA livre ses observations sur les derniers développements liés à l’affaire Sweet Beauté dont le dénouement est proche. «Le président de la République, Macky SALL, est attaché à la transparence dans sa gouvernance et la gestion sobre de vertueuse. C’est ainsi qu’il a laissé la Justice faire son travail dans plusieurs dossiers impliquant même ses proches collaborateurs. On peut citer en exemple le cas de l’ancien Dg de la LONASE, Baïla WANE. La même rigueur doit prévaloir dans le dossier Sweet Beauty. Le Président Macky SALL n’a rien à voir avec ce dossier. C’est une affaire privée qui concerne deux citoyens sénégalais», fait remarquer le PDG de CMG BUSINESS COMMUNICATION GROUP.

Analysant ce dossier qui beaucoup retenu les attentions durant l’année finissante, Cheikh Mbacké GADIAGA invite la Justice à appliquer la loi dans toute sa rigueur.  «Nous attendons que la Justice fasse son travail sans faiblesse et que le droit soit dit dans cette affaire. J’invite les honorables magistrats et le Ministère de la Justice à ne pas céder à la pression populaire et à faire leur travail convenablement comme ce fut le cas pour Khalifa SALL et Karim WADE», laisse entendre le Président du mouvement Falat Macky 2024.

Cheikh GADIAGA s’inquiète des victimes collatérales et des conséquences désastreuses qui découlent de l’affaire Sweet Beauty. Chose pour laquelle il en appelle à une issue immédiate pour limiter les effets pervers d’un dossier politico-judiciaire qui dure depuis deux années déjà. «C’est un dossier qui commence à impliquer les guides religieux. Beaucoup de marabouts sont cités à tort ou à raison dans cette affaire. Sans compter les personnes qui se sont retrouvée derrière les barreaux. Si cela continue, ça risque de tirer dans tous les sens. Les Sénégalais veulent savoir ce qui s’est réellement passé dans le salon de massage à Sweet Beauty et seul un procès public peut permettre d’y parvenir», analyse CMG qui est présentement en tournée auprès de ses partenaires.

«Adja SARR a droit à un procès, elle a droit que justice lui soit rendue. J’ai confiance à la Justice de mon pays et j’ai espoir qu’elle dira le droit sans faiblesse. La loi est dure mais c’est la loi. Dura lex sed lex», conclut Monsieur GADIAGA qui croit fermement à la constitutionnalité du second quinquennat et que Macky a le droit de présenter sa candidature en 2024, pour un deuxième mandat de 5 ans.

Dans une démission sir la 2STV, Adji SARR a balayé la thèse du complot et déclarant qu’elle avait porté plainte de son propre initiative, sans l’influence de personne. Elle l’avait aussi déclaré dans un live de Kalifone SALL qu’elle attend le procès public pour brandir ses preuves. Adji SARR ne va certainement tenir parole pour ne pas décevoir ses souteneurs tels que Gabrielle KANE, Cheikh Mbacké GADIAGA, entre autres.

La rédaction Senegalinfo

 

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